Lauréates 2023

L'appel à projet 2023, portait sur le plaidoyer, la mobilisation et l’action de terrain en faveur de la préservation de l’environnement.

Laëtitia Vasseur                  co-fondatrice et directrice de 

HOP (Halte à l'obsolescence programmée), qui est une association française créée en 2015 à la suite de l'instauration du délit d'obsolescence programmée dans le code de la consommation. Elle a pour but de lutter contre l'obsolescence programmée des produits commercialisés sous toutes ses formes, par des investigations et des actions judiciaires.

Pauline Grumel                  Co-fondatrice et directrice de 

UNISOAP qui a été créée en août 2017, c'est est la première association française, à but non lucratif, qui a pour mission de collecter et recycler le savon des hôtels à des fins humanitaires.  L’objectif est de transformer ces déchets en ressources pour des populations vulnérables en leur  donnant accès à l’hygiène, à des personnes dans le besoin.

Lauréats 2022

L'appel à projet 2022, portait sur le plaidoyer, la mobilisation et l'action de terrain en faveur de la diversité et l'inclusion.

Guerrières de la Paix, qui est un mouvement de femmes fondé en mars 2022 et rassemble aujourd’hui des femmes de toutes cultures, croyances, origines pour faire front commun face à toutes les haines qui circulent dans notre société, notamment le sexisme, le racisme, l’antisémitisme, la haine des musulmans, la haine anti-LGBT et tous les ostracismes. Ensemble, elles affirment ensemble que tous ces combats sont les LEURS mais aussi les nôtres.

Depuis 2020, Hanna a fait plusieurs projections dans des centres sociaux et des lycées et crée un kit pédagogique. Le documentaire met en lumière la parole d'une jeunesse juive et arabe voulant lutter contre le racisme et l'antisémitisme. Hanna souhaite diffuser le film auprès de la jeunesse de France le plus largement possible et faire de ce documentaire un outil et un point de départ pour un travail plus long et profond de déconstruction des préjugés. L' objectif principal de ce projet est de créer des espaces de dialogues et d'échange entre des groupes de jeunes qui ne rencontrent plus et ne se connaissent plus.

Hanna est la réalisatrice du documentaire À NOTRE TOUR! et pilote la campagne d'impact avec le soutien de l'association NANO, de la Dilcrah, SOS Racisme et de Storyboard collective. 

Dysturb est un mouvement multimédia hybride organisant des sensibilisation en milieu scolaire. Le collectif se base sur des reportages photo afin d'éveiller l'esprit critique des jeunes et les sensibiliser à la liberté de la presse. Dysturb s'appuie sur le pouvoir de la narration et de l'authenticité pour engager le public. Parallèlement, Dysturb intervient dans des festivals et événements et propose des couvertures photographiques. 
Pierre Terdjman est un photographe documentaire . Ses photographies ont été publiées dans des revues internationales. En 2014, il a été nominé pour le visa d'or du festival visa pour l'image.

Lauréates 2021

L'appel à projet 2021, portait sur l’égalité effective entre les femmes et les hommes

L'association Resonantes née en 2015 a pour objet d'une part, de penser, créer et diffuser des outils de sensibilisation des 15/24 ans aux violences sexistes et sexuelles, d'autre part, la création de supports destinés aux victimes de violences, à leurs proches et aux témoins. Resonantes intervient en direct auprès du public en milieu scolaire et éducatif, sur internet et dans l'espace privé. Reconnue pour ses actions innovantes, Resonantes est à l'origine du site "Resonantes.fr", du spectacle débat "Mots pour Maux", de l'exposition interactive "Fais pas Genre", et des ateliers d'écritures "W'Rights".Resonantes a créé App-Elles, la première application pensée pour les victimes de violences et lancent "Balance ton Hashtag" une émission de 28 minutes dont le pilote a été tourné avec Bilal Hassani. 

Diariata N’Diaye en est la fondatrice, en partenariat avec le secrétariat d'état à l'égalité, le ministère de la justice, la région Bretagne, Occitanie, le préfet du Var, Nantes et d'autres. Parmi les partenaires privés : pour AppElles : mécénat de compétence ou mise à disposition gratuite de services de Capgemini, iAdvize, WaryMe, OVH, Facebook.

Humanity Diaspo est une ONG apolitique, non confessionnelle, humanitaire, de développement, TechForGood et féministe, intersectionnelle. Démarré en 2018, le projet de Humanity Diaspo vise à lutter contre la précarité hygiénique et menstruelle. Elle vise les femmes et étudiantes précaires, migrantes, réfugiées et victimes de violences conjugales, en situation de sans-abrisme et/ou centre d’hébergement d’urgence. Accompagnant plus de 70 centres d'accueil sur l'ensemble du territoire, Rana Hamra et son équipe ont l'expertise du terrain. Humanity Diaspo a déjà mis en oeuvre des actions de plaidoyer notamment en faisant parti du panel d'ONG accompagnant la Ministre chargé des Droits des femmes lors du G7 de Biarritz.

Rana est juriste, spécialisée dans le droit d'asile et le droit des réfugié.e.s. Après avoir exercé pour le ministère de l'Intérieur au sein de la direction asile au siège de l'immigration et la Commission Européenne sur ces sujets, elle a décidé de se consacrer aux ONG, à l'humanitaire et au développement. 

Alice Apostoly et Déborah Rouach         

fondatrices de 

L'IGG (Institut du Genre en Géopolitique) est un think tank créé en 2020 qui emploie le concept de genre pour analyser et comprendre les réalités complexes des relations internationales. C'est le seul think tank en France qui emploie le genre comme un instrument d’exploration et de compréhension des réalités complexes de l’actualité internationale. Adopter une perspective genrée pour explorer nos sociétés est gage d’un avenir plus sensible aux problématiques de genre. L’IGG place au cœur de son action les différentes questions qui concernent la notion de genre à savoir : la condition des femmes et de la communauté LGBTI+, les normes de féminités et de masculinités ainsi que les rapports de genre.

Alice Apostoly est co-fondatrice et co-présidente de l'IGG. Avec sa collègue Déborah Rouach, elles coordonnent près de 100 bénévoles à travers 6 pôles distincts : rédaction, relecture, traduction, communication, développement, trésorerie. Elles prône une plus grande visibilité du genre en géopolitique à travers une approche holistique et fondée sur les droits humains.